Indigné par
la dégradation du capitaine Dreyfus, le 5 janvier 1895, à l'école militaire, il
dénonce à la fin de l'année dans trois articles publiés par le Figaro les
campagnes de presse contre la République et les Juifs. Convaincu que le
véritable coupable de l'affaire Dreyfus est le commandant Esterhazy, qui est
acquitté à l'unanimité le 11 janvier 1898, Zola publie dans l'Aurore deux jours
plus tard l'article J'accuse.
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